
TCA est l’acronyme de trouble du comportement alimentaire. Classés parmi les problèmes psychologiques, ces troubles sont divisés en plusieurs catégories. Les conduites alimentaires typiques sont les plus fréquentes, à savoir l’anorexie mentale et la boulimie. Aux côtés de ces problèmes se manifestent également les TCA moins connus, dits atypiques. Nous mettons un coup de projecteur sur ces TCA atypiques pour une meilleure compréhension de leurs manifestations respectives.
L’hyperphagie est un trouble des conduites alimentaires qui pousse la personne à consommer de la nourriture au-delà du raisonnable (boulimique). Alors qu’elle n’a plus faim, celle-ci continue de s’alimenter jusqu’à ressentir des malaises digestifs (vomissements).
À la différence de la boulimie (boulimiques), l’individu prend un réel plaisir à manger. Il n’y a donc pas de sentiments de culpabilité qui provoque un vomissement ou un jeûne extrême après la période de pulsion gourmande irrépressible.
L’hyperphagie est à l’origine d’un nombre de cas incalculable de surpoids et d’obésité corporelle. L’hyperphagie peut seulement être des troubles alimentaires nocturne dans certains cas. La guérison est possible en voyant un psychiatre spécialiste dans l’obsession comportementale nutritionnelle.
Les nutritionnistes nous encouragent à manger sain et équilibré pour être en excellente santé (habitudes alimentaires afin d’avoir un poids corporel, une image corporelle et une masse corporelle convenable) . Il est donc normal de surveiller son régime alimentaire. Mais quand ce contrôle devient obsessionnel, on dit alors que la personne est atteinte d’orthorexie.
Ce TCA atypique se caractérise par un contrôle strict de l’alimentation, allant du sel au gras en passant par les glucides et les protéines. Le style de vie est à première vue bénéfique, mais l’orthorexie devient pénalisante et même problématique lorsque la volonté de surveiller les différents ingrédients affecte la vie quotidienne et les relations sociales.
Certaines personnes passent ainsi plus de trois heures par jour à mettre au point leur repas (en plus de la préparation). Un seul petit écart produit un stress voire une sensation de panique.
L’anorexie mentale (anorexique) est une pathologie atypique diffère de l’anorexie mentale habituelle par l’absence de la maigreur excessive (perte de poids chez l’adolescent, dénutrition, un trouble alimentaire psychiatrique qui pourrait mener à une hospitalisation). Néanmoins, la personne qui en est victime, en grande majorité féminine, s’empêche souvent de s’alimenter correctement pour ne pas dépasser un certain poids qu’elle s’est fixé.
Pour maintenir ce « poids idéal », elle aura recours à des aliments peu caloriques ou à des compléments alimentaires.
L’individu atteint d’anorexie mentale peut masquer son problème en mangeant normalement devant ses proches, mais se priver un long moment en compensation de cette consommation de calories.
Cette particularité rend l’anorexie mentale atypique ou les anorexiques difficilement détectable. A l’âge adulte, les troubles nutritionnels ou comportementaux peuvent se transformer en pathologies tel que le diabète, anorexie nerveuse, la gastro, ou des troubles mentaux pathologiques.
La restriction constitue une conséquence néfaste des régimes alimentaires. En effet, pour parvenir à un poids jugé idéal, la personne se prive de nombreux aliments, comme le chocolat, les frites ou encore les hamburgers.
Le vrai problème de ce trouble du comportement alimentaire est la survenue régulière d’une défaillance de la volonté, poussant la victime à consommer outre mesure les produits qu’elle a évité de manger habituellement.
Celle-ci n’arrive donc pas à atteindre ce poids et recommence le cycle, engageant ainsi un cercle vicieux.
Pour couvrir les besoins hydriques journaliers, diverses études suggèrent de boire au moins 1,5 litre d’eau au quotidien. Mais chez les personnes souffrant de potomanie, la quantité absorbée chaque jour peut atteindre jusqu’à 10 litres.
Considérée comme une addiction, cette consommation excessive d’eau est susceptible d’engendrer de graves problèmes de santé. En buvant trop d’eau, les sels minéraux essentiels à l’organisme se trouvent dilués, ce qui entraîne des carences.
Dans les cas extrêmes, les reins ne parviennent plus à évacuer cet excès, provoquant ainsi la formation d’œdèmes.
Les troubles du comportement ou le trouble de rumination ou mérycisme se manifeste par la régurgitation d’un repas quelques minutes après. Le bol alimentaire qui remonte est alors remâché et ravalé par la personne victime de ce TCA.
La remontée n’est pas volontaire et le patient ne ressent aucun malaise ni aucune nausée. Les origines de ce problème n’ont pas encore été clairement identifiées, mais sa prise en charge est psychologique. Les médicaments anti-nauséeux n’ont aucun effet.
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