Jérémie Bossone est un auteur-compositeur-interprète français de chanson rock, né à Loudun, dans la Vienne (France). Il s’approprie différents styles musicaux et participe à diverses formations. A Astaffort lors des rencontres d’Astaffort de 2007, Jérémie rencontre auteurs, compositeurs et interprètes et se lance alors dans l’aventure des Astapotes.
Mais c’est en solo que Jérémie Bessonne se distingue particulièrement dans l’univers de la musique en y mêlant des influences rock et folk. En 2010 et 2011, il remporte plusieurs prix et apparaît sur les premières parties d’Yves Jamait, de Graeme Allwright ou de Georges Moustaki, dans les festivals : Festival DARC, Voix de Fête (Suisse), Chanson de Parole (Barjac) ou des scènes telles que Les Trois Baudets, Le Sentier des Halles, La Bellevilloise …
En 2011, sort son premier EP qui tente de graver l’instant de manière brute, captation provisoire autant que désir d’inscrire le fugace sur la durée.
Après avoir été couvert de prix attribués par la profession (Adami, Centre de la Chanson…), Jérémie Bossonne revient avec un album intitulé « Gloires ».
Cependant, il fallait trouver quelqu’un qui puisse maîtriser l’envolée sans la contraindre, conserver la fureur sans l’endormir. Ian Caple a répondu au défi de Jérémie Bossone et celui-ci savait qu’il trouverait en lui la personne susceptible de traduire son effervescence après que l’ingénieur du son anglais eut déjà mis en boîte les Bashung, Emily Simon, Simple Minds ou Cocoon. « Gloires » est issu de cette rencontre où le mythique réalisateur a vu en Jérémie Bossone la fusion enfin accomplie entre le rock et la chanson, entre la rage de Noir Désir et celle de Brel.
Mais rarement cet espoir n’aura été aussi près de s’accomplir qu’avec un album qui navigue entre un lyrisme sombre (« La Tombe ») ou rageur (« Scarlett »), des envolées d’un romantisme non feint abreuvé de poésie classique (« Les amants de la Seine », un folk magnifé et presque idéalisé (« Galway ») ou un hommage sans courbettes à Barbara (« Göttingen »). Entre tout cela, Jérémie Bossone place une voix qui ne laisse pas indifférent, qui surprend par sa force et son timbre, parfois presque féminin, et qui malgré tout, demeure empreinte d’une gravité très personnelle.
Avec Ian Caple aux manettes au studio Carat de Bègles, alors même que le réalisateur ne sort que rarement de son studio anglais, pour son nouveau projet, Jérémie Bossone s’est entouré aussi de ceux auxquels il fait confiance et qui n’hésitent pas à entrer dans cet univers dont il est difficile de sortir sans y laisser un peu de soi : Daniel Géa à la guitare (Saez, La Grande Sophie), Benoît Lugué à la basse (Wajdi Mouawad, Bertrand Cantat), Bertrand Noël à la batterie (Edgard de l’Est, Valhère).
Cet opus disponible dans les bacs depuis le 23 février 2015, Jérémie Bossonne nous propose d’en découvrir un premier extrait intitulé « Rien à dire » :
Ecoutez bien ce morceau dont les mots sont forts et percutants et la musique envoutante et sensuelle.
Jérémie Bossone se produira la 5 mars aux Trois Baudets à Paris afin de présenter son nouvel album qui ne devrait pas laisser indifférent les connaisseurs de la très belle chanson française.
Retrouvez Jérémie Bossone sur :
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