A l’occasion des 100 ans du Tour de France, le festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand a décidé cette année de mettre la petite reine à l’honneur. Rétropédalage, c’est ainsi 3 programmes et 24 films présentés. Street N’Sports vous propose de voir dans le détail les films projetés dans le cadre de ces 3 programmes et les jours et heures de projection, ainsi que les salles.
Programme V1 :
Films projetés le mardi 3 février à 13 h 00, à 17 h 00 et mercredi 4 février à 13 h 00, salle Jaude 1 ; mercredi 4 février à 18 h 00, salle Génova, Jeudi 5 février, 15 h 00, salle Vian, Vendredi 6 février, 15 h 00, salle Jaude 1 et Samedi 7 février 19 h 00, salle Vian.
« Départ de cyclistes », documentaire historique d’une minute réalisé par les frères Lumières en 1896.
Résumé : Départ de cyclistes pour la course Lyon-Genève. La vue a dû être prise le 12 juillet 1896, sur la route d’Ambérieu.
« Ghostriders II », clip français réalisé en 2011 d’une durée de 3 minutes par Anto Hinh-Thai.
Résumé : Ride endiablé en pignon fixe sur les quais de Seine à Paris.
« Les yeux fermés », film d’animation expérimental de Jeanne Paturle réalisé en 2003 d’une durée de 8 minutes.
Résumé : Un voyage en parallèle, une rencontre sur tandems, des enregistrements sonores, une forme de cécité.
« A bike ride » (À bicyclette), fiction américaine de Bernard Attal, réalisée en 2009 et d’une durée de 13 minutes.
Résumé : Nina, dont les parents viennent de divorcer, évoque avec son père les aléas de l’existence au cours de leurs promenades quotidiennes à vélo.
« Vive le tour ! » documentaire français de Louis Malle, réalisé en 1962 et d’une durée de 18 minutes.
Résumé : L’ambiance sur le Tour de France 1962 : le défilé des voitures publicitaires, la foule au bord des routes, le ravitaillement, le déroulement des étapes avec une chute de Rik van Looy, les abandons dus au dopage, l’ascension difficile des cols et le travail des journalistes sur leur moto.
« Encore un p’tit tour … » documentaire-fiction français de Boris Van Gils, réalisé en 2002 et d’une durée de 7 minutes.
Résumé : Sur les routes du Tour, les roues battent le cycle du temps…
« L’école des facteurs », fiction française de Jacques Tati réalisée en 1947, d’une durée de 15 minutes.
Résumé : Afin de réduire le temps de sa tournée, un facteur invente pour chaque destinataire une façon de remettre le courrier.
« Paris Shangai », fiction française de Thomas Cailley réalisée en 2010 et d’une durée de 25 minutes.
Résumé : Alors qu’il commence un voyage de 20 000 km à vélo, Manu croise la route de Victor, un adolescent au volant d’une voiture volée. Manu aime les voyages, les grands espaces et les rencontres. Victor non.
Programme V2 :
Films projetés le mardi 3 février à 22 h 15, salle Jaude 4, le mercredi 4 février à 13 h 00, salle Capitole 1 ; Jeudi 5 février, 20 h 15, salle Conchon, Vendredi 6 février, 11 h 00, salle Vian et à 18 h 00, salle Petit Vélo, Samedi 7 février 21 h 00, salle Gergovia.
« The man who lived on his bike » (L’homme qui vivait sur son vélo), fiction expérimentale Québecoise, réalisée en 2012 par Guillaume blanchet, d’une durée de 3 minutes.
Résumé : « J’adore être sur mon vélo, je me sens libre. Ça vient de mon père. Après des jours et des jours à pédaler dans les rues de Montréal, au froid comme au soleil, je lui dédie ce film. »
« Velo Mysterium », fiction expérimentale allemande de Jörn Staeger, réalisée en 2013 et d’une durée de 7 minutes.
Résumé : « Un poème expérimental sur les relations entre être humain et vélo. Il existe trois univers sur un vélo : le vélo comme un vaisseau spatial, un corps machine et une machine à explorer le temps. »
« ERÉMIA ERÈMIA », fiction français d’Olivier Broudeur et Anthony Quéré, réalisée en 2007 et d’une durée de 13 minutes.
Résumé : Un homme tente de se libérer d’un travail aliénant par une pratique sportive intense. En mêlant son corps à la brutalité des éléments naturels, il espère trouver, dans l’écheveau des sensations, la sérénité nécessaire à son existence.
« Le son du pignon », fiction animée française de David Martin, réalisée en 2008 et d’une durée de 2 minutes.
Résumé : Alors qu’un réparateur de bicyclettes est plongé dans la monotonie de son travail, il se laisse envahir par le rythme répétitif de ses gestes jusqu’à devenir le chef d’orchestre d’une enivrante musique mécanique.
« 60 cycles », documentaire québécois de Jean-Claude Labrecque, réalisé en 1965, d’une durée de 16 minutes.
Résumé : Reportage sur le 11e Tour cycliste du Saint-Laurent, en 1964, auquel ont participé des coureurs de treize pays et de trois continents. 2400 km parcourus en 12 jours sur les routes du Québec.
« Father and daughter » (Père et fille), fiction animée anglo-néerlandaise, réalisée par Michael Dudok de Wit en 2000 et d’une durée de 8 minutes.
Résumé : Un homme dit au revoir à sa fille et part. Elle attend son retour pendant des jours, des saisons, des années…
« iBike », film Québecois, documentaire réalisé par Martin Amiot et Philippe Bellemare en 2013 d’une durée de 12 minutes.
Résumé : Les adeptes du pignon fixe et la communauté cycliste de Montréal. Grâce au vélo, on peut radicalement transformer une ville !
« Three-Legged Horses » (Cheval à trois pattes), fiction anglo-belge, réalisée par Felipe Bustos Sierra en 2011 et d’une durée de 20 minutes.
Un conducteur de vélo-taxi relève le défi d’emmener trois clients particulièrement désagréables jusqu’au point le plus haut de la ville, le château d’Edimbourg.
Programme V3 :
Films projetés le mardi 3 février à 11 h 00, salle Vian et à 16 h 00, à la salle Petit Vélo, le mercredi 4 février à 21 h 00, salle Capitole 1 ; jeudi 5 février à 18 h 00, salle Petit Vélo, vendredi 6 février, 19 h 00, salle Vian et samedi 7 février à 17 h 00, salle Gergovia.
« 30 century man » (L’homme du 30e siècle), clip réalisé par l’américain Antony Crook, en 2010, d’une durée de 3minutes.
Résumé : James Bowthorpe a fait le tour du monde en vélo…
« Going nowhere fast » (Aller nulle part à fond), documentaire expérimental de l’anglais Jack Oelmann Perez, réalisé en 2013 et d’une durée de 7 minutes.
Résumé : Le film est tourné au Redbridge Cycle Centre, dans la banlieue de Londres, pendant une séance collective sur home-trainer.
« Jitensha » (Le vélo), fiction americano-japonaise de Dean Yamada , réalisée en 2009 et d’une durée de 21 minutes.
Résumé : Le vélo d’un solitaire lui est mystérieusement volé, pièce par pièce. Il reçoit une enveloppe avec la liste des adresses où récupérer les différentes pièces. À mesure qu’il remonte son vélo, il constate que c’est sa vie qu’il est en train de reconstruire.
« Panique au village – la course cycliste », film d’animation belge de Stéphane Aubier et Vincent Patar, réalisé en 2002 et d’une durée de 5 minutes.
Résumé : Une grande course de vélo est organisée. Coboy et Indien sont prêts à tout pour gagner la coupe.
« Two Wheels Good » (Oui aux deux roues), documentaire animé irlandais, réalisé en 2012 par Barry Gene Murphy, d’une durée de 9 minutes.
Résumé : Quatre inspirants vétérans de la grand-route fêtent leur vie en selle.
« Cool Unicorn Bruv » (Cool ta licorne mec), fiction anglaise, réalisée par Ninian Doff d’une durée de 2 minutes.
Résumé : Un conte de fées réaliste à base de vélos volés… et de licornes.
« Ride » (Sortie), documentaire américain de Sophia Lou, réalisé en 2011 et d’une durée de 4 minutes.
Résumé : À la rencontre de l’équipe cycliste de l’université de l’Iowa et du rapport à la route de chacun de ses coureurs. Une invitation à vivre la sortie avec les cyclistes.
« Le quepa sur la vilni ! », fiction franco-belge de Yann Le Quellec, réalisée en 2013, d’une durée de 37 minutes.
Résumé : Aujourd’hui, André sort de sa paisible retraite : sur ordre du maire, il doit mener à travers monts une troupe d’hommes-sandwichs à vélo pour attirer les spectateurs à l’inauguration du cinéma local.