Dès le moment où l’on vient au monde, on adore utiliser nos mains pour appuyer sur des boutons. Ces boutons évoluent des commandes de l’ascenseur à l’ordinateur et, à présent, ceux des smartphones et des tablettes. En moyenne, un adulte consulte son smartphone 80 fois dans une journée. Cela correspond à 5 fois par heure ou une fois toutes les 12 minutes, si on retire les 8 heures de sommeil. De nos jours, il s’agit de rendre la technologie de plus en plus addictive et pratique, de sorte que les gens s’en servent constamment. Ce qui rappelle les propriétés de l’addiction. L’industrie du casino a tiré avantage de la situation en adaptant le cadre du lieu à l’effet qu’ils veulent créer. Par exemple, les casinos n’ont pas de fenêtre ni d’horloges, les motifs des tapis sont hypnotisant, etc. Néanmoins, ce que la plupart des gens ignorent, c’est que les mêmes tactiques sont utilisées par les réseaux sociaux pour s’assurer de l’assiduité de leurs utilisateurs.
L’anticipation
Il n’est pas amusant de gagner en permanence et la raison pour laquelle les gens développent des addictions aux jeux de hasard est le sentiment d’incertitude qui déclenche la libération de dopamine. Jouer à la roulette ou aux machines à sous procure ce moment d’anticipation et ce relâchement de dopamine. Le même effet est produit par l’actualisation des réseaux sociaux comme Instagram, Twitter ou Facebook et la vue de nouvelles publications. Lorsqu’on actualise, on attend quelques secondes pour obtenir les résultats et cette attente est intentionnelle puisqu’elle permet de créer le sentiment d’anticipation qui fait affluer la dopamine.
Dans les jeux de casino, comme ceux proposés sur casinochan.com, on peut soit gagner soit perdre son argent, et sur les réseaux sociaux, les victoires sont aussi présentes, à travers les likes, et les échecs à travers l’absence de réactions. D’ailleurs, lorsque l’on ressent cette humiliation, on met plus d’efforts à obtenir des likes à la publication suivante. L’anticipation est donc constamment présente.
Trouver le bon équilibre entre les succès et les échecs
Comme on l’a évoqué plus tôt, les gens adorent parier en raison de l’anticipation d’une victoire potentielle. Toutefois, si l’on gagnait sans arrêt, ce ne serait pas amusant de jouer. Et l’inverse est aussi vrai. Ce sont les petites victoires qui déclenchent la libération de dopamine car les gros succès seraient trop intenses et les gens devraient s’arrêter pour se reposer. Les réseaux sociaux présentent une quantité d’événements et de notifications à leurs utilisateurs afin qu’à chaque connexion, en remarquant des nouveautés, ils se sentent importants.