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Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco

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Constantin Brancusi réalise une œuvre universelle en hommage à l’Afrique qui permet de comprendre l’origine culturelle commune de l’humanité.

L’œuvre entière de Constantin Brancusi qui retrace l’histoire des civilisations de l’Antiquité à la période moderne pourrait favoriser sans nul doute un dialogue interculturel au profit de l’humanité tout entière.



Le chercheur et expert Brancusi Thierry Rayer a découvert que Les sculptures de Brancusi dissimulent des secrets liés aux connaissances de l’humanité, offrant une clef de lecture de l’art et de l’architecture. Toute personne qui portera son regard avec attention sur les œuvres de Brancusi, à condition de savoir les décrypter, connaîtra ces secrets.
« Regardez mes sculptures jusqu’à ce que vous les voyiez » disait Brancusi à ses visiteurs.

A titre d’exemple, voici dévoilés les secrets de « La jeune fille sophistiquée » (Nancy Cunard), une œuvre devenue historique depuis sa vente le 15 mai 2018 à New-York par Christie’s, soixante-et-onze millions de dollars ! En dépit du fait que le montant de cette vente représente un record pour l’artiste, il faut souligner que sa valeur reste largement sous-estimée si l’on prend en considération qu’elle symbolise l’histoire de l’humanité.

« La jeune fille sophistiquée » fait référence à la légende d’Isis et Osiris. 

  • De dos, la sculpture représente un poisson fécondant une femme, la gueule entre ses cuisses (1).
  • De profil, inclinée à 90 degrés vers la gauche, le poisson (le Tétrodon Fahaka, un poisson du Nil) (2) avale, comme dans la légende, les parties intimes d’Osiris (3). 
  • En verticalisant ce qui représente le sexe d’Osiris (4), on constate qu’il correspond en tous points au « Baiser de 1905 » (5), sculpture magistrale et pierre angulaire de l’œuvre de Brancusi, qui représente des divinités égyptiennes (6) mais également le mythe d’Isis (7), Osiris et Horus (8). 

Les secrets de Brancusi ont été dévoilés en avant-première à Paris en 2016 lors d’une conférence organisée sous le haut patronage du Président de la République française de l’époque, François Hollande. Elle était animée par Thierry Rayer devant un comité de scientifiques, d’avocats spécialistes du marché de l’art et d’experts devant les tribunaux.
En 2018, un livre édité par la maison de Couture LANVIN intitulé « De l’ignorance à la connaissance » a présenté les études scientifiques qui ont conduit à la découverte de ces secrets.

Récemment, Thierry Rayer, Expert de l’œuvre de Brancusi et président du Cercle d’Études Scientifiques Rayer (www.cesrayer.com), a donné une conférence à l’Unesco parrainée par Son Excellence Ibrahim Albalawi, ambassadeur permanent du royaume d’Arabie Saoudite auprès de cette institution et par le président du groupe Afrique, Son Excellence Oumar Keïta, ambassadeur permanent du Mali auprès de l’Unesco. Thierry Rayer a expliqué devant les nombreuses délégations présentes que ses recherches sur le « Baiser de 1905 » de Constantin Brancusi lui ont permis de découvrir l’élément « le savoir et le savoir-faire universel de la création », une méthodologie universelle qui permet de décrypter l’art et l’architecture.

Madame Audrey Azoulay, Directrice Générale de l’Unesco, a écrit à l’attention de Thierry Rayer : « Vos découvertes concernant l’œuvre de Constantin Brancusi vont certainement contribuer à une meilleure compréhension de son génie et de sa contribution au monde de l’art moderne ». 

Ces découvertes correspondent, en effet, à la convention de l’Unesco pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel tel que défini par l’article 2 et s’appuient sur l’utilisation de procédés mathématiques universels et de la géométrie (Thalès, Pythagore, le nombre d’or, la suite de Fibonacci) qui rassemblent toutes les grandes réalisations de l’humanité.

Ces découvertes vont propulser la valeur des œuvres de Constantin Brancusi en tête du marché de l’art.

Le Professeur Beséat Kiflé Selassié, ancien directeur du patrimoine à l’Unesco, récemment décédé, a indiqué que la mise en lumière des découvertes de Thierry Rayer, seul véritable expert de l’œuvre de Brancusi, était remarquable par la méthode scientifique rigoureuse qu’il appliquait. Il a également précisé que cette mise en lumière apporte une dimension universelle aux découvertes concernées, faisant de Constantin Brancusi un artiste de génie. 

Le professeur qui était un fervent défenseur de l’Afrique depuis toujours et ce jusqu’à son dernier souffle. Il écrivait : « le savoir et le savoir-faire de la création révélés grâce à la découverte de la méthodologie universelle permettent de décrypter l’art et l’architecture de chaque pays et mettent enfin en évidence que l’origine commune à toutes les cultures de l’humanité est l’Afrique ». 

Lors de la Semaine de l’Afrique à l’Unesco, le professeur Beséat Kiflé Selassié, durant sa conférence, a présenté Thierry Rayer comme étant le continuateur de la pensée de son regretté grand ami Dan Haulica, Président d’honneur à vie de l’AICA (Association Internationale des Critiques d’Art) et ancien rédacteur en chef de la Revue SECOLUL XX, primée deux fois meilleure revue culturelle européenne, ambassadeur et délégué permanent de la Roumanie auprès de l’Unesco. Il le présentait également comme étant la possible continuité d’Aimé Césaire concernant la promotion de l’Afrique et sa culture.

Cet ami de l’Afrique et de l’universalité ainsi que Son Excellence Oumar Keïta ont été les premiers à s’être engagés à soutenir l’inscription du « savoir et du savoir-faire universel de la création » au titre du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco et ont largement contribué à travailler sur le dépôt du dossier.

Le rôle de l’Unesco est de promouvoir le dialogue entre les civilisations, les cultures et les peuples. Le « savoir et le savoir-faire universel de la création » remplit parfaitement cet objectif en réunissant l’humanité autour de valeurs communes. Pour cette raison, il est nécessaire de le faire entrer au patrimoine immatériel de l’Unesco et de collaborer pour que soit diffusée la connaissance de cette méthodologie.

Thierry Rayer est le fondateur du Cercle d’Etudes Scientifiques. 

Dès l’adolescence, celui qui est désormais connu et reconnu en tant que chercheur en art et en histoire s’est distingué en remettant en cause les écrits historiques d’Alain DECAUX et d’André CASTELOT. C’est de cette manière qu’il gagna le respect de ces deux figures emblématiques pour qui il fera des recherches dès 1986.

Enfant du sérail et talentueux, Thierry RAYER poursuivit ses études et recherches scientifiques en mettant l’art et l’histoire au cœur de celles-ci. Assidu des conférences de Sciences Po Paris/musée d’Orsay sur la politique, l’histoire des religions, l’anthropologie, la philosophie, la littérature et les sciences rapportées à l’art. Il est également membre de l’association de l’Ecole du Louvre dans laquelle, il s’est intéressé principalement aux civilisations antiques et aux Sciences en Europe à la Renaissance.

Ingénieur de formation, l’art et l’histoire ont toujours occupé une place de premier choix dans son parcours.

Thierry RAYER se distingue par la méthode scientifique qu’il applique à ses recherches. De ses travaux pointilleux, rigoureux et complets, on relève outre une dimension scientifique, mais également politique et historique.

La méthode scientifique qu’il applique systématiquement à ses recherches apporte une véritable valeur ajoutée à ses travaux. Cette méthode, Thierry RAYER l’a perfectionnée au côté de l’éminent académicien Louis LEPRINCE RINGUET qui l’a initié en lui démontrant les liens entre la science et les arts.

Thierry RAYER a également participé au côté de William ROSTENE, président de la société de Biologie, à la publication de la Biographie de Pierre RAYER, le créateur de la société de Biologie, dans le journal « Biologie aujourd’hui ».

Si, aux côtés d’Alain DECAUX et d’André CASTELOT, Thierry RAYER s’est tant intéressé aux époques napoléoniennes (Napoléon et Napoléon III), il va, dès 1998, se spécialiser dans la civilisation précolombienne et plus précisément dans la culture mochica (également désignée par culture moche).

Cette culture dont le nom fait référence au Muchik, dialecte parlé le long de la côte nord péruvienne d’où est issue la culture moche, lui permettra de percer le mystère de l’œuvre de Constantin BRANCUSI.

Cette étude a permis de placer Thierry RAYER au-devant de la scène.

Il est le fondateur du Cercle d’Études Scientifiques RAYER et l’auteur du livre «  de l’ignorance à la connaissance » études scientifiques et collection Rayer présenté par la Maison de couture LANVIN.

  • Spécialiste de la culture Mochica
  • Découvreur de l’interprétation de l’œuvre de Constantin Brancusi
  • Découvreur de l’élément « Le savoir et savoir-faire du processus de la Création »
  • Spécialiste des sciences en Europe de l’Antiquité à la Renaissance
  • Spécialiste de l’historiographie de la médecine à la Cour de France, du Moyen Âge au XIXe siècle
  • Ami de la Société de Biologie
  • Membre du conseil scientifique de la société Française d’Egyptologie
  • Membre d’honneur et membre du conseil scientifique des Amitiés Internationales André Malraux, ancien responsable des études et de la recherche dans les domaines de l’art et de l’histoire de l’art
  • Vice-président de l’association André Malraux
  • Membre de l’association de l’Ecole du Louvre

Thierry Rayer est à l’initiative de la remise de Diplôme de Reconnaissance par l’association Mérite et Dévouement Français à :

  • la Maison de couture Jeanne LANVIN, au siège de LANVIN
  • la Société de Biologie, à l’Académie nationale de médecine
  • Madame Brigitte Macron pour l’élégance qu’elle incarne et qui contribue au prestige de la France à l’étranger
  • Au Groupe Afrique de l’Unesco
Le professeur Beseat Kiflé Sélassié et Thierry Rayer
Son Excellence Monsieur Oumar Keïta et
le professeur Beseat Kiflé Sélassié