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Interview : Kopernik

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STREET N’ SPORTS : Pour commencer, peux-tu te présenter ?
KOPERNIK :
Salut tout le monde. Je suis KoperniK, jeune chanteur de 23 ans évoluant dans un style Pop/Rock, auteur, compositeur et interprète.



SNS : Tu t’appelles Kopernik, pourquoi ce nom ?
K :
J’ai toujours aimé la philosophie et Nicolas Copernic était un philosophe (plus connu en tant qu’astronome) et défendait une thèse sur l’héliocentrisme, qui place le soleil au centre de l’univers. Et comme le nom sonnait aussi super bien, je me le suis approprié en remplaçant les C par des K.

SNS : Au début, il s’agissait d’un groupe, mais désormais tu continues en solo, pourquoi ce changement de route ?
K :
En effet, ce groupe fut créé en 2010 avec 3 bons amis à moi. Pour diverses raisons (les études, changement de ville …), je me suis retrouvé seul. Dans mon esprit, il était hors de question que j’abandonne la musique et j’ai donc décidé de garder ce nom pour aussi remercier mes amis qui m’ont fait vivre surement les plus belles années de ma jeunesse. Et très vite les gens me l’ont attitré.

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SNS : A la fois par ton physique mais également pas ton style musical, on ne peut s’empêcher de penser au tout début de KYO, est-ce un groupe qui t’inspire ?
K :
(Sourire) C’est forcément un groupe qui a marqué les personnes de ma génération et j’en fais donc logiquement partie. Leurs musiques ont bercé ma jeunesse et je pense qu’en effet, cela a déteint un peu sur ma manière d’écrire. Maintenant, je pense que mon défi sera justement d’arriver à m’inscrire sur la durée et de m’imposer en tant que KoperniK. Mais c’est un très beau compliment.

SNS :  » Je ne peux pas te dire  » est ton nouveau single, peux-tu nous en parler ?
K :
Ce titre est venu bien tardivement. Cela faisait quelques mois que je n’avais pas d’inspiration ou du moins que je ne composais pas des titres qui me convenaient. Et puis, un jour, je suis parti à Reims et le changement d’air a fait qu’en rentrant, j’ai composé « Je ne peux pas te dire » en 15 minutes. Contrairement à ce que l’on pourrait croire lors de la première écoute, ce titre n’est pas une chanson d’amour du moins, pas totalement. Cette chanson s’adresse à une personne. Je lui dis que je peux tout expliquer sauf l’inexplicable. Il y a des choses dans la vie que l’on ne peut expliquer. Mais je suis content car chacun peut se faire sa propre histoire avec ce titre et c’est le principal.

SNS : Tu prépares également un album ?
K :
En soit, j’ai de quoi enregistrer un album voire plus. J’ai environ 20 titres en réserve. Malheureusement, je n’ai ni maison de disque, ni label, ni manager, je fais donc tout moi-même. Produire un album coûte très cher. J’aurais peut-être des propositions dans les mois à venir sinon, je continuerai à faire comme je le fais depuis le début.

SNS : Quels sont tes coups de cœurs du moment ?
K :

SNS : Que peut-on te souhaiter de meilleur ?
K :
Une signature avec un label, une maison de disque serait top. J’aimerais vraiment enregistrer cet album pour tous les gens qui me soutiennent, ils le méritent. Sinon que l’aventure continue, jour après jour les gens sont de plus en plus nombreux à me suivre et à partager mon univers. Je suis déjà je pense un grand privilégié d’avoir tout ce soutien.

SNS : Un dernier mot pour Street N’ Sports ?
K :
Je suis extrêmement touché par votre soutien, vous faites partie des première personnes à m’accorder quelques lignes et j’en suis très reconnaissant. Ce sont des choses dont je me souviendrai, croyez-moi.
Petite tradition, j’en profite aussi pour remercier encore une fois la Koperteam qui a fait de ma vie, un rêve, le rêve de pouvoir partager ma musique. Pour moi, ce sont plus que des fans, ce sont des amis, des frères, des sœurs, bref une grande famille. Sans eux, je n’en serais surement pas là et je n’aurais peut-être pas pu m’exprimer ici aujourd’hui.


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